Une lettre. Il aura suffi d'une lettre pour que le quotidien d'Eleanor-Rigby soit complètement chamboulé. Dans cette lettre anonyme, elle apprend que sa mère aurait un passé criminel. Qui lui envoie celle-ci ? Pourquoi ne doit-elle en parler à personne ? Et qu'est-ce que tout cela réserve ? Eleanor-Rigby n'hésite pas beaucoup avant de se lancer dans une quête de vérité. George-Harrison vit au Québec et reçoit la même missive, lui parlant de sa mère également. Les deux ne se connaissent pas, ne se sont jamais croisés, mais sans le savoir, ils ont rendez-vous tous les deux dans le même bar, dès l'instant où ils comprennent qu'ils sont à la recherche de la même chose, un véritable jeu de piste se met en place.
Chaque nouveau roman de Marc Levy est un événement, un livre attendu par ses très nombreux lecteurs. C'est un auteur que je lis depuis mon adolescence, donc chaque année, je suis au rendez-vous. Dès les premières informations, je guettais La dernière des Stanfield pour savoir ce que ce roman-ci allait nous réserver...
Il y a donc Eleanor-Rigby et George-Harrison, les noms prêtent à sourire avouons-le. Ils ne se connaissent pas, n'ont jamais entendu parler l'un de l'autre et pourtant un jour, ils se rencontrent dans un bar de pêcheur suite à cette lettre qu'ils ont chacun reçu concernant leur mère. Elles ont apparemment commis un acte criminel, elles étaient très proches semble-t-il, et quel est le lien qui semble unir Eleanor-Rigby et George-Harrison ? Un jeu de piste concernant leur mère respective, mais aussi leur histoire commence alors.
Ce que j'aime avec Marc Levy, c'est qu'on ne sait jamais vraiment par avance dans quel genre d'histoire, il va nous mener. Ici, c'est une véritable saga familiale qui s'offre à nous. Ces lettres lancent une véritable quête de vérité, un vrai jeu de piste pour découvrir tout ce que le "corbeau" laisse sous-entendre. Entre passé et présent, les chapitres mêlent plusieurs générations, plusieurs histoires qui finiront par n'en former qu'une seule.
La dernière des Stanfield nous entraîne dans la France occupée en 1944, dans le Baltimore des années 80 avant de revenir à Londres et Montréal de nos jours. Une intrigue complexe se tisse au fil des pages, les personnages se multiplient et l'histoire gagne en intensité. C'est une vraie histoire familiale riche, dense qui se dévoile peu à peu. Le lecteur est entraîné dans une folle spirale où les secrets sont enfouis au plus profond et qui éclatent au grand jour sans qu'on soit réellement préparé. Prenez garde à ne pas perdre le fil entre chaque personnage, entre chaque époque, mais tout comme une toile d'araignée tout se tisse au fil des pages et nous sommes véritablement embarqués dans cette histoire sans s'en rendre compte.
Marc Levy avec son écriture intense, juste, rythmée réussi à entraîner une nouvelle fois le lecteur dans cette nouvelle histoire du début à la fin. Les événements s'enchaînent avec une pincée d'émotions et de sentiments, le lecteur se retrouve attendrie par ce jeu de piste pour découvrir la vérité sur ces mères qu'on pensait si bien connaître et tout comme Eleanor-Rigby et George-Harrison veut tout savoir. On retrouve des thèmes chers à l'auteur comme la famille, ou encore l'amitié. L'amitié qui est certes un thème récurrent dans ses romans, mais surtout qui a chaque fois offre une histoire particulière, une tournure que seules les histoires d'amitié peuvent prendre. C'est un point fort que j'aime beaucoup et que je remarque à chaque fois, c'est ce petit quelque chose qui me fait toujours sourire et me touche. Les personnages sont travaillés avec précision, rien n'est laissé au hasard, les lieux sont particulièrement bien décrits et nous les imaginons aisément, et tous les éléments de l'intrigue finissent par s'imbriquer pour un dénouement final qu'on apprécie à sa juste valeur.
La dernière des Stanfield offre vraiment une saga familiale à la hauteur de ce qu'on peut attendre de Marc Levy. Laissez-vous donc transporter par cette histoire qui réserve bon nombre de rebondissements et qui dévoilera des secrets qui semblaient si bien gardés et partez sans vous retourner en compagnie d'Eleanor-Rigby et George-Harrison dans ces 500 pages.
La dernière des Stanfield de Marc Levy est disponible aux Editions Robert Laffont / Versilio.
Il y a donc Eleanor-Rigby et George-Harrison, les noms prêtent à sourire avouons-le. Ils ne se connaissent pas, n'ont jamais entendu parler l'un de l'autre et pourtant un jour, ils se rencontrent dans un bar de pêcheur suite à cette lettre qu'ils ont chacun reçu concernant leur mère. Elles ont apparemment commis un acte criminel, elles étaient très proches semble-t-il, et quel est le lien qui semble unir Eleanor-Rigby et George-Harrison ? Un jeu de piste concernant leur mère respective, mais aussi leur histoire commence alors.
"Merde, Elby, comment as-tu pu passer à côté de ta propre mère ? Par pudeur, par peur, par lâcheté ou négligence ? Parce que tu ne te doutais pas une seconde que le temps pouvait s'arrêter brutalement ? Parce que tu réservais les confidences à plus tard ? Mais pour toi, plus tard, c'était hier."
Ce que j'aime avec Marc Levy, c'est qu'on ne sait jamais vraiment par avance dans quel genre d'histoire, il va nous mener. Ici, c'est une véritable saga familiale qui s'offre à nous. Ces lettres lancent une véritable quête de vérité, un vrai jeu de piste pour découvrir tout ce que le "corbeau" laisse sous-entendre. Entre passé et présent, les chapitres mêlent plusieurs générations, plusieurs histoires qui finiront par n'en former qu'une seule.
La dernière des Stanfield nous entraîne dans la France occupée en 1944, dans le Baltimore des années 80 avant de revenir à Londres et Montréal de nos jours. Une intrigue complexe se tisse au fil des pages, les personnages se multiplient et l'histoire gagne en intensité. C'est une vraie histoire familiale riche, dense qui se dévoile peu à peu. Le lecteur est entraîné dans une folle spirale où les secrets sont enfouis au plus profond et qui éclatent au grand jour sans qu'on soit réellement préparé. Prenez garde à ne pas perdre le fil entre chaque personnage, entre chaque époque, mais tout comme une toile d'araignée tout se tisse au fil des pages et nous sommes véritablement embarqués dans cette histoire sans s'en rendre compte.
Marc Levy avec son écriture intense, juste, rythmée réussi à entraîner une nouvelle fois le lecteur dans cette nouvelle histoire du début à la fin. Les événements s'enchaînent avec une pincée d'émotions et de sentiments, le lecteur se retrouve attendrie par ce jeu de piste pour découvrir la vérité sur ces mères qu'on pensait si bien connaître et tout comme Eleanor-Rigby et George-Harrison veut tout savoir. On retrouve des thèmes chers à l'auteur comme la famille, ou encore l'amitié. L'amitié qui est certes un thème récurrent dans ses romans, mais surtout qui a chaque fois offre une histoire particulière, une tournure que seules les histoires d'amitié peuvent prendre. C'est un point fort que j'aime beaucoup et que je remarque à chaque fois, c'est ce petit quelque chose qui me fait toujours sourire et me touche. Les personnages sont travaillés avec précision, rien n'est laissé au hasard, les lieux sont particulièrement bien décrits et nous les imaginons aisément, et tous les éléments de l'intrigue finissent par s'imbriquer pour un dénouement final qu'on apprécie à sa juste valeur.
La dernière des Stanfield offre vraiment une saga familiale à la hauteur de ce qu'on peut attendre de Marc Levy. Laissez-vous donc transporter par cette histoire qui réserve bon nombre de rebondissements et qui dévoilera des secrets qui semblaient si bien gardés et partez sans vous retourner en compagnie d'Eleanor-Rigby et George-Harrison dans ces 500 pages.
La dernière des Stanfield de Marc Levy est disponible aux Editions Robert Laffont / Versilio.
Merci aux Editions Robert Laffont et Versilio.
5 mots en bref pour décrire ce livre :
famille
passé
secrets
quête
amitié.
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